lundi 19 janvier 2015
Ce matin, ta mère et
Ninon ont perturbé le sens de l’écriture. Ninon m’a esclavagé en me forçant à
lui grattouiller le dos, ta mère m’a envoyé sous une pluie humide lui acheter
des clopes. A mon retour, elles étaient aussi trempées que le carton des bières
de notre escapade portugaise. Ta mère mécontente m’a attaché au lit et, aidée
de ta sœur, m’a fouetté jusqu’au sang.
Je profite qu’elles
soient toutes les deux dans la salle de bain en train de se ravaler la façade
pour t’écrire. Tu les connais, je suis tranquille pour une éternité.
Depuis deux jours,
entre ta mère et ta sœur je vis un enfer. La nuit dernière, elles m’ont obligé
à dormir à même le sol pendant qu’elles ronflaient sur leur lit à baldaquin.
Vivien revient. Sans ta protection je suis trop « esclavagé *».
J’arrête de me
plaindre, cependant ma condition de vie est un copié-collé du héros de « Sans
Famille ».
Maintenant, nous
prenons la direction de ton home.
Bisous
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